Centre communautaire Pierrefonds-Roxboro

L’Arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, situé à l’extrémité ouest de l’île de Montréal, compte plus de 65 000 habitants sur une bande de 30 kilomètres de caractère quasi suburbain.

La proximité d’une gare, d’une école, d’un centre jeunesse et d’un parc le long du boulevard Gouin a conduit les autorités municipales à mettre en place un nouveau centre communautaire facilitant l’intégration des nouveaux citoyens avec l’aide d’organisations sociales et de bénévoles. Le centre comprend une salle polyvalente pour 150 personnes, des salles de classe de différentes tailles et une cuisine commune.

Pour éviter la stigmatisation institutionnelle, le projet adopte la morphologie des bâtiments commerciaux construits le long du boulevard au cours des dernières décennies: un bâtiment d’un étage avec une grande fenestration et un toit en surplomb sur de petites colonnes. Cette simplicité volontaire nous a permis de doter le projet d’un toit vert, d’un kiosque à musique extérieur et d’une salle de spectacle munie d’une grille technique motorisée, même s’ils n’étaient pas prévus dans le programme.

En utilisant la notion de camouflage, le projet explore la possibilité de formuler un langage architectural adapté à un bâtiment public à la croisée des bâtiments commerciaux vernaculaires et de l’idéal miésien.

Centre communautaire Pierrefonds-Roxboro

L’Arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, situé à l’extrémité ouest de l’île de Montréal, compte plus de 65 000 habitants sur une bande de 30 kilomètres de caractère quasi suburbain.

La proximité d’une gare, d’une école, d’un centre jeunesse et d’un parc le long du boulevard Gouin a conduit les autorités municipales à mettre en place un nouveau centre communautaire facilitant l’intégration des nouveaux citoyens avec l’aide d’organisations sociales et de bénévoles. Le centre comprend une salle polyvalente pour 150 personnes, des salles de classe de différentes tailles et une cuisine commune.

Pour éviter la stigmatisation institutionnelle, le projet adopte la morphologie des bâtiments commerciaux construits le long du boulevard au cours des dernières décennies: un bâtiment d’un étage avec une grande fenestration et un toit en surplomb sur de petites colonnes. Cette simplicité volontaire nous a permis de doter le projet d’un toit vert, d’un kiosque à musique extérieur et d’une salle de spectacle munie d’une grille technique motorisée, même s’ils n’étaient pas prévus dans le programme.

En utilisant la notion de camouflage, le projet explore la possibilité de formuler un langage architectural adapté à un bâtiment public à la croisée des bâtiments commerciaux vernaculaires et de l’idéal miésien.